Commentaire de Bois-Guisbert
sur Lucie Aubrac, l'abbé Pierre et l'identité nationale
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J’ai un certain frisson quand je pense aux cadeaux (notamment les voyages en train vers l’Allemagne) qu’offraient votre famille à une certaine époque.
Et quand tu penses à ceux qui se sont faits trouer la peau, pour que les Mongols de Staline ne puissent pas venir faire paître leurs chevaux dans le bocage normand, ça te fait quel effet ?
Quoi qu’il en soit, je t’emm...