@JC_Lavau. Je ne cherche pas un livre que j’ai déjà depuis le 8 novembre 1993, qui m’a coûté 91 F. Je pensais à ceux qui en auraient besoin, et les prix actuels sont pour collectionneurs exclusivement. La fermeture des éditions Mir laisse un grand trou en sciences et techniques.
Il est encore ouvert à côté de moi : j’ai besoin de mieux comprendre la biréfringence, sur laquelle sont basées les lames quart d’onde.
 
Le cours basique de métrique cristallographique (syntaxe3.pdf) est toujours en ligne. Il utilise à fond le tenseur métrique du réseau, comme je l’avais déjà fait en 1972, à la grande colère du maître de conf métallurgiste.

Le complément algébrique qui avait fait polémique malveillante était manifestement inachevé ; il avait pour but non atteint de faire la transition avec les matrices de Dirac ; il est à présent coupé. Les chances que je le reprenne sont fort minces, vu les autres urgences.

Ce cours de métrique cristalline m’avait permis de créer un modèle général de planche de tableur pour prédire les réflex d’un diffractogramme sachant
le métal d’anticathode, et les paramètres cristallins. Evidemment il donne de faux positifs, puisqu’il ne considère que la maille de base, sans son motif. J’ai perdu trois semaines à l’automne 2008 à tâcher de comprendre pourquoi il donnait un faux négatif : une raie du diaspore selon un tableau publié par Caillère et Hénin (Minéralogie des argiles), n’apparaissait pas. Or cette raie là ne résultait que d’une vieille erreur de recopie... La fiche du diaspore sur le site du BRGM a levé le doute.
Là j’ai prouvé que quand Laquerbe prétend trouver de la mullite, de la chaux et de la kaolinite dans le diffractogramme d’un limon de la plaine alluviale, il a tout faux, il a bluffé comme un débutant. Pas de mullite, pas de kaolinite, mais de la chlorite et au moins un mica.
Michel Laquerbe n’a jamais été sédimentologue, et encore moins cristallographe, mais authentique faussaire.