Commentaire de Étirév
sur Armageddon-Ecologiste : « Et si on stérilisait les cons ? »
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L’ignorance, ce fléau universel.
Rappelons que les Grands Livres sacrés de l’antiquité expliquaient l’impérative nécessitée d’une règlementation sexuelle.
deux mille ans avant notre ère, lorsque les émigrées de l’Inde (qui deviendront le peuple hébreu) se répandirent dans toute l’Asie, elles firent un séjour dans la partie de l’Arabie qui touche au Golfe Persique et y laissèrent des souvenirs dont l’histoire a gardé la tradition. Aussi, la Mecque, longtemps avant l’Islamisme, fut une des stations. On y trouve une « Maison sacrée », la Kaaba.
Sur les collines voisines de la Kaaba se trouvait l’habitation des Déesses Icâf et Nayila.
C’est dans la Kaaba qu’avaient lieu les réunions secrètes des femmes, c’est là qu’elles célébraient leurs « Mystères ».
Primitivement on disait Qoubbah, mot qui signifiait, dit le Coran, lieu d’Abraham (Abraham mis pour Peuple de Brahm).
Une fois par an, les femmes y recevaient les hommes pour la fécondation annuelle qui avait lieu au printemps : d’où la Pâque, fête de l’œuf.
Cet endroit fut donc consacré par le pèlerinage annuel qui réunissait les hommes et les femmes, dans un temps où la lutte des sexes avait créé le divorce social, les hommes vivants entre eux, les femmes entre elles.
Cette fête de Pâque était accompagnée de cérémonies religieuses et d’un enseignement. Les Déesses profitaient du pèlerinage qui attirait les hommes pour leur expliquer les lois de la Nature que, dans d’autres occasions, ils ne voulaient pas écouter.
En hébreu, le mot Pâque veut dire passage. La fête du Pesah (de la Pâque) se célébrait à la première pleine lune de printemps. C’était le premier mois lunaire de l’année juive, le temps que la Nature assigne pour les fécondations. Les relations sexuelles étaient réglementées par la religion. Quand on eut tout profané, on changea la signification des primitives institutions, et l’on nous dit alors que « la Pâque fut l’obligation pour tout Israélite de venir chaque année offrir les prémices des fruits de la terre devant le tabernacle établi a Silo.
Conséquences de l’Amour masculin... la « chute ».
Chez l’homme, à partir de l’âge de la puberté, l’influx nerveux jeté dans le grand sympathique est un courant électrique cherchant sans cesse un courant contraire. S’il ne le rencontre pas, il est éliminé, et le phénomène recommence. Mais si l’homme rencontre dans une femme le principe qui l’attire, le courant nerveux, au lieu de suivre la voie habituelle de l’élimination, remonte, et remonte parce que c’est par les yeux et les autres organes qui sont sous la dépendance des nerfs crâniens, que l’attraction commence.
Cependant, fatalement, l’attraction commencée par le pole cérébral doit descendre vers le pole générateur et, finalement, porter l’homme à un rapprochement dans lequel il donne ce qu’il y a de meilleur en lui : sa vie, son intelligence.
Pendant l’Amour l’homme manifeste des qualités qu’il n’a pas dans sa vie individuelle.
Il devient sensitif, alors que sans Amour il est brutal,
Il devient généreux, alors qu’il est égoïste,
Il devient doux, humble soumis, alors qu’il était arrogant et orgueilleux,
Il devient galant, il adresse à la femme des louanges, alors que, en dehors de l’Amour, il est irrespectueux et envieux.
L’Amour le change et si, sans Amour, il manifestait les mêmes qualités il serait l’homme idéal, le supra homme.
L’Amour lui inspire ce que la raison devrait lui inspirer.
Mais l’attraction sexuelle chemine et veut aboutir à la fonction inférieure. Quand il y arrive il se fait en lui une réaction, il perd ses qualités momentanées et prends les défauts contraires.
L’homme est la contradiction de lui-même. Chez lui la réaction de l’Amour est un état douloureux. Il sent qu’il vient d’abandonner une partie de son être et souvent cela lui occasionne une poussée de rage.
M. Destrem appelle cette réaction « les effets subversifs de l’Amour », qui sont dit-il, l’origine du mensonge, de la perfidie, du viol, du crime.
Janus de Villiers dit : « Chaque fois que tu aimes tu meurs autant », et Schopenhauer ajoute : « La passion satisfaite est suivie d’un rapide désenchantement ».
L’Amour est donc pour l’homme un « sacrifice ». C’est ainsi que l’antiquité le définissait.
C’est dans la réaction de l’Amour, qu’apparait l’opposition des sexes, la lutte entre la raison féminine et la déraison de l’homme. Et cela se complique des effets de la réserve sanguine qui engendre la brutalité chez l’homme, tandis que la femme dans sa réaction nerveuse devient sensitive et craintive.
Ces actions sont lentes, ce sont des petits effets, mais ils s’additionnent et s’accumulent dans le cours de la vie.
La réaction de l’homme serait toujours une jalousie, une haine (la misogynie) si l’éducation, l’intérêt, n’intervenaient pour le calmer et lui faire attendre le retour du besoin physiologique qui lui rendra momentanément de bons sentiments. Cependant l’habitude, la certitude d’être écouté, arrivent à supprimer les délicates attentions et les prières de la première fois, l’homme prend sans demander et c’est cela qui est « l’Amour brutal ».
Les mœurs qui résultent de cette précipitation des phases de l’Amour caractérisent les races dégénérées.
La facilité donnée à l’homme, dès l’adolescence, de satisfaire tous ses caprices, a amené un appauvrissement de la substance nerveuse dans le sexe masculin, qui va s’accentuant de génération en génération.
La femme, en cédant à l’homme, lui cause le plus grand préjudice et s’expose à sa haine et à toutes les manifestations familiales et sociales de la misogynie.
Psychologie et loi des sexes