Commentaire de Trelawney
sur Les habits noirs du diabolique Yann Moix
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Avec la comédie humaine de Balzac on ne peut dire que l’histoire se répète invariablement. Chardon Rubempré et Moix, c’est un peu la même histoire de la banalité sordide qui se construit une histoire romantique pour exister et qui est finalement rattrapé par son passé tout aussi sordide.
Le XXIème siècle consumériste permettra à Moix de ne pas finir pendu dans sa cellule, mais simplement vieux et aigri dans une bergerie restaurée au large de Calvi. Bergerie achetée avec les droit d’auteur d’Orléans et du battage médiatique qui va avec.
Quand c’est sordide, c’est sordide jusqu’au bout !