Commentaire de Séraphin Lampion
sur Et les grands oiseaux qui s'amusent...
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« Les consonnes sifflantes sourde et sonore, la finale féminine du mot, les voyelles variées nous entraînent vers un monde de rêves et de bonheur... »
celle-là, vous pouvez nous la fourguer dans un article sur deux, avant ou après « l’auteur nous entraîne vers des horizons qui nous font rêver et nous invitent à nous évader dans un monde de poésie »
Je vous suggère de vous constituer un générateur de texte sur le modèle de ce formulateur automatique de « parler creux ».