Commentaire de goc
sur Le gagnant et le perdant dans la crise pétrolière iranienne
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On n’est pas absolument sur que les iraniens se soient engagé à ne pas livrer la Syrie, par écrit. Et quand bien même ce serait le cas, je ne vois pas ou serait le mal vis à vis d’un État qui signe des traités puis les annule en fonction de la gastro ou des cou... pleines de son chef. Le respect doit toujours être bilatéral, sinon le premier qui ne respecte pas ses engagements libère d’office le second des siens, et l’autorise même à faire des promesses sans obligation de les respecter.