La (plupart) du peuple américain s’est levé derrière Trump dont le projet encore peu connu à l’extérieur du pays est celui d’appuyer une divulgation massive de tous les crimes commis à l’encontre du peuple américain depuis la guerre de Sécession, l’occasion pour des criminels étrangers de s’infiltrer à la tête du pays.
Depuis le jeudi 28 mars 1861, le gouvernement
de fait qui est censé diriger l’Amérique a été illégal.
Le 28 mars 1861 a été le jour où le
Congrès des États unis d’Amérique s’est ajourné parce que le quorum n’avait pas
été atteint et n’a jamais plus été convoqué.
Les États unis d’Amérique
Constitutionnels n’ont jamais été formellement abolis. La gouvernance du pays
auquel s’appliquait la
Constitution a simplement été reprise par des acteurs se
pavanant au service des intérêts d’une élite financière européenne. A l’exception
de quelques rares patriotes, le peuple américain ne semble pas l’avoir remarqué
ou s’en être préoccupé. La situation est toujours la même actuellement. Les
acteurs ont changé mais l’illégalité de leur gouvernance perçue n’a pas
changé.
L’Amérique / Les États-unis
/ US / Les États-unis d’Amérique / Les USA, ne sont pas une nation souveraine
et libre ; c’est une société anonyme avec des actionnaires privés dont les
principaux sont les anciennes lignées familiales et les syndicats criminels qui
les soutiennent.
Depuis le 28 mars 1861, ce
qu’on appelle communément le « Congrès » a fonctionné d’une des trois
manières suivantes :
(1)- Soit comme un
Directoire de société anonyme pour des sociétés de services privées faussement
appelées services gouvernementaux dont les propriétaires sont majoritairement
étrangers, gérées par un cartel bancaire.
Un de ces cartels bancaires est
appelé la Réserve
Fédérale (1913).
Un autre cartel bancaire est appelé FMI
(Fonds Monétaire International créé en 1945) et c’est cet ensemble qui dirige une société anonyme du nom de « ETATS-UNIS ».
(2)- Ou comme gouvernement
d’une démocratie parlementaire s’appelant les États-unis d’Amérique (en
minuscules) : les « états » Américains qu’on pense être des
territoires fédéraux et possessions fédérales, par exemple Guam, Porto Rico,
etc.
(3)- Ou comme une
oligarchie plénière dirigeant le Gouvernement Municipal (uniquement) de
Washington DC.
Le Président du grand pays
nord-américain aux appellation diverses qu’on pense être l’Amérique n’est que
le Directeur Général de la (des) société(s) privée(s) fédérale(s). Il existe
environ 39 niveaux d’habilitation de sécurité supérieurs à celui du président américain selon le décompte des diverses agences qui gèrent des budgets secrets , ce que le président JFK avait d’ailleurs révélé avant son assassinat. Cela signifie donc en clair qu’il existe 39 projets, installation, réunions, documents et comptes bancaires auxquels le président (de la corporation) des Etats-Unis n’a pas accès.
Partout à travers le territoire des Etats-Unis, des américains se regroupent pour faire appliquer la loi organique et publique du pays afin de procéder à la restauration de leur gouvernement légitime.
Le peuple américain se réveille tout comme les autres à travers le monde, lassés de se faire spolier depuis des siècles par un syndicat international du crime organisé dont les Clinton et les Scherff( alias Bush) sont les infâmes représentants semant les conflits à travers le monde pour le compte de leurs commanditaires dont les malfaisants Rockefeller et d’autres criminels contre l’humanité en passe d’être démasqués.
L’affaire Epstein est un des éléments qui permettra l’officialisation de ces créatures malfaisantes infiltrées depuis trop longtemps à la tête des états mondiaux.
Le 11 septembre 2001 a été l’un de ces innombrables crimes commis par ce syndicat international du crime organisé afin de conserver leur pouvoir mondial tyrannique envers les peuples.
Tout cet édifice cimenté par les crimes et les horreurs s’ébranlera grâce au réveil des peuples à travers le monde.
D’ailleurs, il semblerait que Macron opère quelques revirements dans ses discours...Ce n’est évidemment qu’une façade mais néanmoins un signe que ses commanditaires commencent lentement mais sûrement à sentir le vent tourner...ou alors qu’ils opèrent une contre-offensive pour se préparer à une situation inconnue.