Commentaire de L’apostilleur
sur Les Grands excès du capitalisme financiarisé
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@Fifi Brind_acier
« Ce capitalisme sans frein et sans âme n’est pas une fatalité mais relève de choix politiques... »
Votre perception serait complètement différente si N. Sarkozy avait été entendu..
Interrogé à l’Elysée, il avait soumis une idée incroyable au journaliste qui l’interrogeait à propos de la redistribution des bénéfices des sociétés ; « 1/3 des bénéfices devait revenir aux actionnaires, 1/3 aux investissements et 1/3 aux salariés ».
D’aucuns se sont probablement étranglés en l’écoutant, il n’en a plus jamais reparlé.