Commentaire de velosolex
sur La palmeraie… bretonne
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@Fergus
La principale raison tient au marché. Si on laissait les noyer ou les pommiers, en bordure de route, les producteurs de vergers n’y trouveraient surement pas leur compte. En Ardèche, j’ai vu dans le nord du département, de beaux cerisiers en bordure de départementales, avec des fruits délicieux, offerts aux passants. Une pratique que j’observais dans mon enfance, et qui s’est perdu. Il n’y a plus non plus de terrains communaux. Les landes en bretagne étaient aussi un espace ouvert à la communauté villageoise. Mais une constance, celle de l’atavisme et de la rapacité de certains. C’est pour mettre un terme à celle des paysans qui chaque année rognait un peu plus les routes, pour leur culture, qu’on planta les platanes, ces beaux arbres qui dilataient l’espace.