Commentaire de Jean S
sur Un clou chasse l'autre


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Jean S 24 décembre 2019 04:43

 

Monsieur Olivier Cabanel bonjour,

 

Ces RH qui se permettent des harcèlements qui poussent les gens aux suicides devraient être condamnés pour meurtre.

Auchan, France Télécom, Suez, ils sont libres, ou condamnés a des peines dérisoire de 4 mois de prison ferme alors qu’ils devraient écoper de 30 ans de réclusions voir de la prison à vie.

Ces gens vont en appel, ils ont le fric pour le faire.

Justice à deux vitesses pour riches ou politicards planqués. D’aucun font partie des gouvernements des dictatures européennes de l’argent volé.

Condamnation à deux ans de prison ferme et dommages et intérêts de milliers d’euros si vous cassez une statue dans la rage d’une manifestation ! Casser du symbole vaut plus qu’une vie !

Le meurtre de travailleur, droit de vie et de mort comme au temps de l’esclavage ou du servage.

Une vie de travailleur ça vaut combien aujourd’hui ?

"Autrement dit, au regard de la loi, l’assassinat est plus grave que le meurtre. Il en découle des sanctions plus lourdes pour l’assassinat. Le meurtre est passible de 30 ans de prison, tandis que l’assassinat est passible de la réclusion criminelle à perpétuité.

Les sanctions encourues en cas de crime

Les crimes constituant les infractions pénales les plus graves, ce sont aussi celles qui sont le plus lourdement sanctionnées.

Il existe deux principales sanctions pour les crimes : la peine de prison et l’amende.

Une personne qui commet un crime risque au minimum 15 ans de prison et au maximum la perpétuité. La peine d’emprisonnement peut être assortie d’une éventuelle période de sûreté pour les crimes les plus graves. La période de sûreté désigne une période pendant laquelle le condamné ne peut bénéficier d’aucuns aménagements de peine.

A cette première sanction (la prison) peut s’en ajouter une deuxième : l’amende. Pour un crime, le montant de l’amende, s’il y en a une, est au minimum de 3 750 euros.

A ces deux principales sanctions pénales peuvent s’ajouter des contraintes diverses ou peines complémentaires. Par exemple, des interdictions, des confiscations, etc."

Que peut on encore espérer quand les irresponsables coupables font partie des instances gouvernementales ? Ces gens là sont prêts à toutes les exactions, ils savent qu’ils ne seront pas jugés !


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