Commentaire de Rincevent
sur Le paradoxe de la caissière
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C’est bien ça. Les grandes enseignes ne se concurrencent pas avec leurs magasins en centre-ville, elles essayent surtout de récupérer du chiffre. Et si ce sont plutôt des bobos, les actionnaires s’en foutent : pour eux ce qui compte c’est le bénéfice net. Le capitalisme a une qualité première qui est sa capacité d’adaptation. Les gens sont lassés des cathédrales de la consommation ? Pas grave, on va leur rouvrir des églises de quartier et la messe continuera.
Pour ce qui est du prix à payer de cette mutation, ce sera comme d’habitude : la variable d’ajustement, c’est le personnel...