Commentaire de abelard
sur Cinéma contemporain et jouissance esthétique
Voir l'intégralité des commentaires de cet article
Article intéressant, je partage (à peu près) votre questionnement.
Billy Wilder conseillait aux cineastes de « laisser les spectateurs additionner 2+2, il vous en seront éternellement reconnaissants ».
Quant à ce que vous dîtes de la supériorité de l’imaginaire sur l’image montrée, c’est une thèse qui est magistralement démontrée dans « Les Ensorcelés » de Vincente Minnelli.
D’ailleurs, à ce propos, vous auriez pu aussi citer « Les dents de la mer » où le requin n’apparait que très tard et très peu.
D’une certaine façon, ces films « spectaculaires » rejoignent les débuts du cinéma quand il était une attraction foraine...