Ce second document est porteur d’espoir. Il montre que les musulmans les plus bornés, comme l’auteur, paniquent face à une demande grandissante de laïcité dans les pays soumis à l’islam. Cette demande est montrée comme très présente même au sein de la communauté islamisée. Pour la combattre, l’auteur appelle à une grande rigueur dans l’application de la seule Loi admise, celle de sa communauté religieuse. Les enseignants, par exemple, doivent, selon lui, refuser d’enseigner les programmes quand ils ne sont pas strictement conformes à l’exigence islamique.

Les ennemis de l’islam sont montrés comme vivant dans une sorte d’horreur spirituelle, et c’est évidemment là qu’à l’espoir d’une démocratisation doit être ajoutée une crainte d’aggravation de la persécution des juifs et des chrétiens. Je reconnais que c’est le point faible de ma proposition de changer la définition de la laïcité (elle entraînerait elle-même une pire persécution des non-musulmans). Mais je crois que les gouvernants aggravent plus encore la situation en démissionnant toujours plus. La ferme résistance devra forcément se produire un jour, sinon c’est le monde entier qui sera totalement soumis au totalitarisme islamique.