« le ministre refuse la mise sur le marché sans études préalables du traitement, l’accepte sous réserve d’un accord collégial pour les malades en stade sévère »

C’est à dire lorsqu’il ne sert plus à rien, puisque les patients ne meurent pas du virus mais de détresses diverses provoquées par la lutte contre ce virus, ou pour d’autres pathologies préexistantes. Tu trouves ça « sage », permets-moi d’en douter.