m’enfin, quand un spécialiste (fut-il controversé) nous dit : « Les épidémies commencent et s’arrêtent pour des raisons que l’on connaît très mal. »
Ceux qui nous prédisent des rebonds ont-ils validé des études statistiques certaines ?
Le citoyen lambda, qui a autant besoin que les ’Chercheurs’ de « ne tenir pour vrai que ce qui apparaît avec évidence être tel » ,
a-t-il accès aux évidences de cas historiques de virus à rebonds ?

N’est-on pas en droit de soupçonner que des phénomènes sont désignés par un même vocabulaire (’virus’) parce qu’ils partagent des caractéristiques ou des propriétés similaires ?
A moins de disposer de connaissances ou d’informations non partagées avec ses interlocuteurs, comment s’attendre à ce qu’ils tiennent pour évidente
la probabilité d’une exception encore jamais rencontrée ?
Si l’autorité des sachants doit tout de même être respectée, ne faut-il pas alors que ce soit parce que, s’ils ne disent pas tout, et ne transmettent pas,
comme attendu en démocratie, leurs découvertes ou savoirs, cela ne peut être que pour des raisons d’intérêt supérieur ? : secret d’Etat, secret industriel, question de diplomatie ? 
Or, le décret d’une « guerre sanitaire » n’a d’évident que les sous-entendus du mot « guerre ».
Sans autre précision, pour exclure toute hypothèse de propos inconsidéré, n’est-il pas évident que ce mot nous incite à penser à une évocation diplomatique de ce qui va avec les guerres modernes : le NBC, les P4, les secrets militaires et économiques, les astuces ’stratégiques’ (qui seront expliquées aux enfants de plus tard, par les historiens du futur) de manipulation des opinions publiques ...