Commentaire de Spartacus
sur Le plan Macron-Merkel et les chaînes européennes


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

Spartacus Lequidam Spartacus 29 mai 2020 10:50

Comme les politiciens les mots sont utilisés à contre sens.

Confusion entre « investissements » et dépenses.

On n’investi pas dans la recherche, l’innovation et la santé, ainsi que la transformation verte et l’agenda numérique, on dépense.

La société investi, l’état dépense car il est à charge de la société...

L’auteur pleure que ce ce sont des prêts. C’est pas le problème, le problème c’est que se sont des prêts à l’état et pas à la société, et avec de la création monétaire.


La France est déjà une économie dite « économie étatiste de favoritisme », chacun le voit, cela entraîne une inflation de lois, de bureaucratie ou chacun demande à l’état de s’occuper de sa tronche en espérant avoir plus de faveurs que le voisin ou en empêchant la concurrence du voisin, et c’est le politicien qui décide le prix des masques, des remises sur les carottes ou la forme du rectangle du poisson pané.


La vérité c’est que le QE (quantitative Easing), (création monétaire) depuis que le monde est monde a toujours créé de l’inflation.

L’inflation a toujours été la vraie spoliation de la richesse des peuples.

C’est écrit comme 1+1=2.

Quand il y a plus de monnaie pour le même volume de transactions, échanges dans une économie, la valeur de la monnaie s’adapte et c’est l’inflation.

De la Rome Antique à la Crise de 1929.

En 2008, cela ne c’est pas produit, puisque l’argent n’a pas été dans l’économie mais dans les fond propres des banques. 

Maintenant qu’elles ont plein de pognon en réserves, le nouveau QE va aller à l’état au lieu de la société. Le communisme d’état qui spolie la société et le consommateur pour des planifications irresponsables.


L’argent prêté à l’état est d’autant moins disponible à la société et à l’économie libre.

Pourquoi une banque irait prêter à 1% avec des risques a des particuliers ou PME alors que l’état c’est du sur ?


L’argent du secteur privé par le sens du profit est dirigé par la main invisible vers les secteurs d’avenir rentables, et se retire des secteurs désuets créant croissance, emplois et richesses. (destruction créatrice).

Ça donne le chemin de Singapour, Pays bas, Suisse, Corée du Sud.


L’argent du secteur public attiré par les « bonnes intentions » est dirigé vers les quémandeurs, les minorités visibles, les groupes militants structurés et taxe les créateurs de richesse créant récessions, chômage et destruction des richesses. Une inflation de demandes de subvention et d’intervention dans l’économie, loi, bureaucratie, fonctionnaires, secteur non rentables et perdus subventionnés, création encadrée qui ne correspond pas à la demande réelle, mais à celles des proches de l’état.

La route du Venezuela, Zimbabwe, Corée du Nord, France actuelle vers le pire.


Voir ce commentaire dans son contexte