Commentaire de OJBA
sur Liban : les effets pervers du confessionnalisme politique
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Je l’aurais parié, c’est C. Goshn qui a fait pété le truc. Comme ça, sa maison, comme celle de 300000 autres habitants de Beyrouth, est détruite, ils" ne pourront pas lui piquer. En même temps, il semblerait qu’il lui en reste 5 en d’autres lieux. Faut-il s’attendre à d’autres explosions ?. Euhhh, pour les énervés du clavier, c’est de la fiction.