Commentaire de Legestr glaz
sur Et s'il n'y avait pas de seconde vague épidémique de Covid-19 ?


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Legestr glaz Legestr glaz 12 août 2020 12:56

Merci pour cet article. 

Vous écrivez : « Le scénario d’une seconde vague ne tient pas ». 


Je partage votre avis.


Le problème qui est devant nous est bien celui de comprendre que les élites mettent actuellement tout en oeuvre pour générer un climat anxiogène afin de produire, chez les « masses », des peurs structurantes. Ce virus respiratoire aérosol est un virus respiratoire aérosol comme les autres, ni plus, ni moins dangereux. Il a fallu déployer des trésors « d’ingéniosité », de « malveillance » et de « mauvaise foi » pour faire en sorte de ne pas soigner les malades dès les premiers symptômes pour faire croire à une létalité monstrueuse. Tout ceci a été fait sciemment, c’est un scandale d’Etat. Rien de tout ce qui a été annoncé n’est arrivé. Nous vivons actuellement dans un monde de mensonges ! 


Derrière cette comédie des masques, des « cas », de la « létalité », etc, se cachent de puissants intérêts économiques. Derrière tout ceci se cache en filigrane les élections aux USA et, dans un autre contexte, au Brésil.

Je reproduis une réflexion de Séraphin Lampion postée sur Agoravox :


« Globalism » est le terme américain traduit généralement en français par « mondialisation ».

Mais je pense comme vous que le te terme de « globalisatioon » est pertinent pour analyser les tensions actuelles si l’on considère que tout se joue sur un conflit d’intérêts entre lobbies transnationaux à dominante américaine sur fond d’élection présidentielle à la tête de l’empire.

Le système économique que vous qualifiez de « néolibéral » n’est rien d’autre que le stade d’évolution le plus avancé du capitalisme qui se trouve confronté à ses contradictions et à ses spasmes cycliques dus à son fonctionnement de prédateur tirant ses profits avant tout des intérêts sur les prêts qu’il consent à ses débiteurs. A l’échéance des emprunts, le créancier a pris l’habitude au cours des siècles de se créer de nouveaux débiteurs en détruisant leurs économies par des guerres.

Aujourd’hui une guerre mondiale se traduirait pas l’utilisation de l’arme nucléaire, et ils ont choisi le domaine sanitaire pour simuler des combats d’un nouveau genre à coups de lois d’exceptions et d’états d’urgences.

C’est que les clans s’affrontent pour contrôler les manettes de l’empire « globalisé » (i.e. planétaire :

— les mondialistes (démocrates) entendent continuer avec leurs amis chinois à fonctionner sur la base de traités multilatéraux et d’organismes sous contrôle (FMI, OMS, ONU, etc.)

— les isolationnistes (républicains) estiment que le coût est trop élevé et sont persuadés qu’ils seraient financièrement gagnants en cessant de jouer le rôle de gendarmes du monde et en se « contentant » de toucher les royalties sur leurs succursales européennes, japonais etc. sur la base d’accords bilatéraux à géométries adaptées au partenaire

Tartiflette a misé sur les démocrates.



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