Commentaire de Ouallonsnous ?
sur Et s'il n'y avait pas de seconde vague épidémique de Covid-19 ?


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Ouallonsnous ? 12 août 2020 17:53

@Ouallonsnous ?
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Je pense que toute personne un peu capable de penser aura été choquée de la déposition d’Agnès Buzyn, ancienne ministre de la santé, devant la commission d’enquête de l’Assemblée nationale. Interrogée sur l’inscription soudaine au mois de janvier de l’hydroxychloroquine au tableau des substances vénéneuses, elle pataugea à travers différents trous de mémoire pour finalement énoncer que la raison en était que « les Français consomment en général trop de médicaments ».

Et donc que, suite à la réception d’une note de ses services, elle avait décidé de ce changement pour un des remèdes les plus sûrs de toute la pharmacopée  !????

 

Elle aurait pourtant eu l’embarras du choix, puisque des milliers d’autres médicaments avec des profils de risque plus élevés auraient pu être re-classés pour la même cause. Par le plus grand des hasards sans doute, son choix est justement tombé ce jour-là sur un produit qui avait déjà fait ses preuves in vitro contre le premier Sars en 2005[vii], et que même le CEO de Novartis considérera à la fin du mois de mars comme le médicament le plus prometteur face à la Covid !

 

On apprit ensuite que ce changement avait en fait été effectué… à la requête expresse du laboratoire pharmaceutique Sanofi : « Le classement de l’hydroxychloroquine parmi les « substances vénéneuses » est l’aboutissement d’une démarche lancée il y a plusieurs mois par Sanofi, l’entreprise fabriquant le Plaquemil, seul médicament contenant de l’hydroxychloroquine disponible en France.[viii]  »

 

Comprenons-nous bien : l’état de corruption systémique rappelé plus haut est tel qu’une compagnie pharmaceutique peut en effet, sans raison médicale ou pharmacologique valable, obtenir qu’une ministre change le classement d’un médicament au moment même où il peut s’avérer salvateur !

 

La suite nous la connaissons : alors que les premiers essais cliniques à travers le monde commençaient à suggérer fortement l’efficacité de l’hydroxychloroquine (en combinaison avec l’azithromycine) en début d’infectionla plupart des gouvernements occidentaux dont la France interdirent sa prescription aux médecins libérauxLes privant de manière scandaleuse de la possibilité de soigner leurs patients et donc aux malades de la Covid de celle de se faire soigner, au motif que l’efficacité du remède n’était pas absolument « prouvée ».

 

Cette excuse-bidon fit mouche, et en vint même à empoisonner le débat public alors que la question n’est absolument pas là : les médecins disposent de la prérogative et du droit inaliénable de prescrire en leur âme et conscience le traitement qu’ils estiment convenir à leurs patients

 

Depuis la loi Kouchner, toute décision est prise conjointement par un médecin et son patient, le premier devant expliquer au second les options possibles, avec leurs risques et bénéfices respectifs, avant que le patient donne son « consentement libre et éclairé » à l’option retenue.

 

Nulle part n’est-il prévu que l’état soit partie prenante de ce choix du traitement !

Les prescriptions « hors autorisation de mise sur le marché (AMM), soit hors des indications reconnues pour un médicament en particulier, sont monnaie courante et c’est à chaque médecin de prendre ses responsabilités en la matière.

 

Nous eûmes droit dans la foulée à trois campagnes médiatiques insensées (que j’ai annoncées à mes lecteurs avant même qu’elles n’arrivent tant elles sont logiques dans une perspective de criminologie sanitaire) : la première vague, reprise par l’ensemble des médias installés, faisant croire à une dangerosité soudaine de l’HQ, alors que ce remède a en sa faveur 65 ans de pharmacovigilance attestant de son extrême sécurité.

 

Une fois cette intox ventilée, on eut droit à une volée d’études-bidon, falsifiées, parues pourtant dans les plus prestigieuses revues médicales et faisant croire à l’inefficacité de l’hydroxychloroquine avec une diversité de procédés crapuleux : données fictives ou invérifiables, prescription tardive alors que le remède n’a plus d’efficacité à ce stade et même (dans le cas de Recovery) doses toxiques données au stade terminal de la maladie, ce qui relève d’une pratique criminelle.

 

L’OMS et maints gouvernements ayant sauté sur l’occasion pour entériner la prohibition définitive de l’HQ, il resta un travail de diffamation à faire pour passer sous silence les nombreux essais cliniques positifs : une compilation de 65 études (dont 39 « revues par les pairs- » conclut pour 75% d’entre elles à une efficacité de l’HQ, dont 100% des études portant sur la prescription précoce comme préconisé à l’IHU de Marseille[ix] !

 

Dernier clou au cercueil, on vit même mise en œuvre la censure pure et simple des médecins qui osaient attester de leur expérience clinique positiveCensure conduite en France par l’Ordre des médecins, poursuivant des praticiens qui avaient osé témoigner que des patients avaient eu le toupet de guérir[x], et internationalement par les Facebook, Twitter et autres Youtube, se portant gardiens du temple du « scientifiquement correct » dans ce qui s’apparente bien à une hallucinante prise de pouvoir sans garde-fous.

 

Commentant dès le mois de mai la censure d’articles scientifiques contestant les positions de l’OMS sur les réseaux sociaux comme dans certaines revues médicales, un des meilleurs épidémiologistes au monde, le Pr Peter Gotzsche, avait écrit ceci : « Quand un article honnête et informé sur un problème majeur de santé se trouve censuré au simple motif qu’il serait « contraire aux recommandations autorisées », nous n’avons pas seulement contracté un virus. Nous avons aussi attrapé une censure de style oligarchique big pharma. Est-ce ce que nous voulons ?[xi] »

 

Voilà où nous en sommes aujourd’hui.

Et alors que l’épidémie n’existe plus (au sens que l’on donne à ce terme en épidémiologie) depuis le mois de mai, que le nombre d’hospitalisations et de décès dus la Covid n’a cessé de baisser, que le virus a perdu (comme il est naturel au bout de quelques mois) l’essentiel de sa virulence, qu’il apparaît que la majorité de la population est déjà naturellement immunisée[xii] et que des pays comme la Suède (qui n’a jamais confiné ni exigé le port du masque) arrivent eux aussi à une mortalité zéroles autorités et les médias français continuent leur propagande anxiogène insensée.

 

Le port du masque est infligé jusqu’en plein air, alors qu’au plus fort de l’épidémie, on nous assénait, menaces de sanctions à l’appui, qu’il ne servait à rien ! Rappelons au passage que la Hollande et les pays scandinaves viennent quant à eux de refuser de l’imposer étant donné l’absence de données scientifiques probantes en faveur de cette mesure.

 


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