Commentaire de yoyo
sur Et s'il n'y avait pas de seconde vague épidémique de Covid-19 ?


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yoyo 13 août 2020 09:49

@chantecler

Je suis surpris par le nombre d’article de presse qui font un rapprochement entre le SIDA et la présente pandémie (médiatique) de Covid19. Les labos, notamment Gilead, recasent leurs anti-rétroviraux aussi inefficaces que toxiques et hors de prix.
Je connais assez bien le SIDA pour m’être longuement documenté à ce sujet. Il faut se remettre au début des années 80, chez les homosexuels dits « fast-track » :
- des centaines de partenaires sexuels par mois
- abus d’antibiotiques
- abus de différentes drogues et poppers (nitrite d’amyle)
De telles hygiènes de vie ont déclenché des série de pathologies (sarcome de kaposi, infections pulmonaires, effondrement du système immunitaire...). Devant le nombre de cas, les services de santé états-uniens ont lancés des recherches - exclusivement virales. Montagnier a réussi a découvert un rétro-virus, et Robert Gallo aux USA a usurpé sa découverte. Une annonce précoce a été faite à la TV nationale : « On a trouvé le virus du SIDA ».
Seulement, il n’existe aucune aucune étude scientifique qui montre qu’à minima : « le VIH est la cause probable du SIDA ». Kary Mullis, prix Nobel de chimie pour l’invention de la PCR, a eu besoin de la référence d’une telle étude. Il a cherché durant plusieurs années en vain. Il a d’ailleurs conté cette anecdote(!) dans la préface du livre de Peter Duesberg : « L’invention du virus du SIDA » - https://www.amazon.fr/dp/2874341266 (voir mon commentaire - Lionel).

La thèse - très convaincante - défendue par Duesberg est que le SIDA est un syndrome causé par divers facteurs : malnutrition (Afrique), abus d’antibiotiques et drogues (milieux homosexuels), ou encore des médications toxiques (AZT - chimiothérapie inventée dans les années 60).
Et cette thèse explique les incohérences de l’hypothèse VIH = SIDA :
- impossibilité de détecter le VIH si peu présent. On se contente de détecter ses anticorps, et ce, de manière très peu fiable - les critères de séropositivités sont différents d’un pays à un autre.
- le VIH ne s’est pas répandu dans le monde, il est apparu simultanément partout où des tests ont été effectués. C’est à dire qu’il est présent depuis longtemps dans une fraction de la population.
- l’absence de contagiosité du SIDA : il n’a jamais quitté les groupes ou régions « à risque »
- des séronégatifs présentant les pires symptômes du SIDA. Tellement nombreux que, pour ces cas, un autre nom de maladie a été inventé : ICL. https://en.wikipedia.org/wiki/Idiopathic_CD4%2B_lymphocytopenia
- des séropositifs, sans traitement, qui ne développent pas le SIDA, 30 ans après.
NOTER BIEN ces 2 dernière lignes, elles sont les contre-exemples parfaits de l’hypothèse VIH=SIDA

Et l’impact du SIDA est très faible malgré que d’ancienne maladies soient, notamment en Afrique, comptabilisées comme cas de SIDA, souvent sans même faire un test. On nous a annoncé que l’Afrique allait être dépeuplée, bam, l’Afrique est le continent avec la plus forte progression démographique. En Europe, seuls quelques cas sont déclarés chaque année.

Alors quand je vois, aux USA et en France, des chercheurs issus de la recherche SIDA prendre en main la recherche sur le Covid19 (Fauci, Barré-Sinoussi), toutes mes antennes frétillent. Et quand ils discréditent l’hydroxychloroquine + azithromycine pour, encore une fois, vendre des anti-rétroviraux, dont l’inefficacité ne rivalise qu’avec les effets secondaires désastreux et déjà bien connus - ça ne rappelle que trop l’AZT et les milliers de morts qu’il a pu faire.


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