Commentaire de Adèle Coupechoux
sur Le plus gros client d'Acquittator *


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Adèle Coupechoux 13 août 2020 11:13

Le garde des sceaux du nouveau ministère français n’a pas été choisi par hasard…

 

Il suffit d’écouter le Pr. Perronne sur TV5 pour en être convaincu.

 

Le Pr. Perronne balance sur « les magouilles et les attaques dégueulasses contre Raoult »

 

En fait, ce chef de service des maladies infectieuses à l’hôpital de Garches est tout en retenu, pas hystérique comme ceux qui nous rendent malades par la gestion dégueulasse de cette crise en comptant les morts avec un cynisme quotidien.

 

 

Il dit qu’on aurait pu sauver 25 000 vies grâce à l’hydroxychloroquine, l’Azithromycine et de l’oxygène, traitement peu couteux par rapport au Remdevisir qui ne fonctionne pas et qui coûte une blinde ….Le Pr. Perronne l’a dit et répété mais n’a pas été entendu ! D’autres médecins le savaient…

 

A Garches, il a prescrit ce traitement qui a évité la réa à de nombreux patients….

 

 

3% de décès à Marseille, mais plus de 18% en France. Létalité moindre au Maroc et au Portugal grâce à l’ hydroxychloroquine, La France est le seul pays au monde à l’avoir interdit et où la mortalité a été la plus importante.

 

Les médecins généralistes ont été les seuls à essayer de contenir la maladie.

 

Il s’agit d’actes de malveillance d’une petite minorité de médecins assassins et adeptes de la corruption ordinaire qui au lieu de soigner, ont plutôt également pendant la crise privilégié leurs études en utilisant comme procédé, le placebo, tout ça pour publier. En plus de privilégier leurs intérêts financiers avec certaines industries pharmaceutiques

 

La France est le pays qui a le plus mal gérée cette « crise sanitaire »

Il explique comment on a démantelé toutes les structures qui auraient pu gérer les urgences sanitaires.

 

Le Conseil de l’Ordre des médecins l’a calomnié pour avoir dit la vérité.

Comme quoi les médecins doivent travailler en cheville avec les industries pharmaceutiques. C’est pourtant bien le cas pour l’Inserm qui travaille en étroite collaboration avec Sanofi, entre autres.

Et enfin, Véran n’a rien vérifié de ces conflits d’intérêts.


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