Commentaire de Attila
sur Analyse du mouvement des Gilets Jaunes


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Attila Attila 14 septembre 2020 12:54

@cettegrenouilleci
« Joindre ses efforts à ceux de l’UPR, ou rejoindre l’UPR qui a besoin de grandir, c’est faire un pas dans la bonne direction.  »
L’UPR peut rassemble a condition qu’elle s’en tienne à la ligne de conduite définie au début : ne pas diviser les français par des prises de position sur des sujets clivants et les reporter après la sortie de l’UE. Les décisions sur ces sujets clivants devant faire l’objet de débats suivi de référendums.
Un nouveau sujet très clivant vient d’apparaître, celui de la chloroquine et de Didier Raoult. François Asselineau avait réalisé une vidéo où je suis d’accord à 100% avec ses déclarations, notamment à la fin où il dit que les traitements possibles doivent subir une évaluation, sans prendre parti, donc :
Qu’aurait fait François Asselineau face à l’épidémie de Covid-19 s’il avait été à l’Élysée ?
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Puis, il a complètement changé de ligne de conduite en prenant ostensiblement parti pour le traitement à la chloroquine et pour Raoult. Du coup, les adhérents et sympathisants qui s’en tiennent aux résultats des études scientifiques rigoureuses et validées par la communauté scientifiques ne peuvent plus suivre Asselineau et l’UPR sur ce point. Il a d’ailleurs dû répondre à de nombreuses questions des adhérents sur ce sujet.
6 juin 2020 : François Asselineau répond à vos questions
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Surtout qu’il n’arrête pas de cliver en allant chercher des références foireuses comme France-Soir qui est un média en décrépitude essayant de se raccrocher aux branches avec une niche éditoriale : le petit groupe des adorateurs subjugués par la comédie de la rebellitude de Raoult et sa poudre de Perlimpinpin la chloroquine.
ENQUÊTE EXCLUSIVE = L’efficacité in vitro de la chloroquine contre le coronavirus
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Hydroxychloroquine, Olivier Véran et les membres du « haut conseil de la santé publique » doivent réautoriser l’utilisation de ce médicament et présenter leur démission collective
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Il est lamentable de laisser Macron seul à dire ce qu’on doit entendre dans la bouche d’un homme d’État responsable : « Il n’appartient pas au président de la République de trancher des débats scientifiques, surtout avec des critères politiques. »

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