« Il faut connaître les protéines pertinentes de la pathologie que l’on veut combattre puis l’isoler et trouver le chant de la protéine pour en stimuler ou inhiber sa synthèse. »
C’est là qu’il faut comprendre le rôle de la 5G, en regardant plus loin que le bout de son nez, ce dont peu de gens semblent capables.
La 5G pourrait être un instrument de mort, ou de vie, selon ce qu’on décidera d’en faire. Mais pour l’instant, je crains qu’elle ne soit conçue comme un instrument de mort.
Ce sont d’ailleurs les militaires qui se sont les premiers intéressés à ces fréquences particulières, évidemment pour en faire des armes létales. Quoi d’autre en attendre ?
La 5G est très probablement l’aboutissement de ces recherches.
Chaque borne, chaque lampadaire équipé pourrait déclencher l’émission d’ondes létales, engendrant des maladies, aussi mortelles qu’une arme atomique, mais respectueuses de l’environnement.
Le rêve pour une élite (les 500 millions) qui saurait s’en protéger.
L’avenir est réservé à ceux qui réfléchissent. Les autres mourront. Même et surtout les imbéciles comme le lapin blanc.