Commentaire de Legestr glaz
sur Traitements à base d'hydroxychloroquine et azithromycine face à la pandémie COVID-19 : réflexions épistémologiques pour une sortie du déni


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Legestr glaz Legestr glaz 26 octobre 2020 21:49

@Attila

Ne vous laissez pas détourner par des analyses biaisées. Examiner sur quels malades porte cette étude : 

Je copie colle : «  All studies except one were conducted on hospitalized patients and evaluated the effects of hydroxychloroquine with or without azithromycin ».

La chloroquine est un ionophore du zinc. Elle permet donc au zinc d’entrer puissamment dans la cellule et d’y empêcher la réplication virale. Il faut donc administrer chloroquine (et zinc) dès les premiers symptômes.

Comprenez alors, que si le virus s’est déjà répliqué dans la cellule, toute la chloroquine du monde (ni tout le zinc) ne pourra rien faire puisque la réplication virale aura déjà eu lieu. Les débats dans l’organisme devront être combattus par d’autres moyens que la chloroquine. 

L’administration de chloroquine n’est d’aucune utilité chez la majorité des malades hospitalisés. Parce que, en effet, s’ils sont hospitalisés c’est qu’ils n’en sont plus aux premiers symptômes et que leur état de santé requiert, malheureusement, une hospitalisation. La réplication virale a eu lieu. L’étude citée présente donc un biais méthodologique rédhibitoire !

De la même manière, il serait totalement inutile d’administrer une chimiothérapie à un cancéreux en phase terminale. 


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