@tonimarus45 En France, 150 imams sont payés par l’état turc (Erdogan), 120 autres imams par l’état algérien et 30 par le Maroc. Il reste 800 imams bénévoles (70 % du total) qui gèrent 2500 lieu de culte. Sur ces 2500 lieux de culte (mosquées et lieux de prière, 560 mosquées ont été construites et sont financées par les frères musulmans, l’UOIF, les salafistes, les tabligh. Elles sont généralement implantées dans les quartiers et régions où la pauvreté est endémique (Lunel où la mosquée tabligh a envoyé 7 familles complètes en Syrie faire le djihade, Seine saint Denis etc). Plus de la moitié des mosquées de France sont soit financées par l’étranger (Moyen orient) soit par des organismes radicaux et font du prosélytisme pour leur religion. Et vous me parler de croix chrétienne et kipa juive ? Non mais vous avez saisie l’ampleur du phénomène et le danger que ça peut faire courir à notre pays ? Reprenez l’exemple de ce professeur qui dispense un cours qui n’a jamais été remis en question par l’éducation nationale, le gouvernement et le collège en question. Des personnes font un tintamarre médiatique et sur les réseaux sociaux pour crier au scandale car ce cours porte atteinte à une religion (qui n’a rien à faire à l’école). Un malade mental endoctriné par ou les frères musulmans,ou l’UOIF, ou les salafistes, ou les tabligh va couper la tête du professeur. La collusion entre l’assassin et les personnes qui ont fait le foin à l’école est établit. Conclusion : les professeurs des écoles par peur n’aborderont plus le sujet dans leur cours. Les musulmans imposent encore un peu plus leur loi et leur pouvoir dans les écoles de non pas les quartiers, mais tout le pays. Car il ne faut pas être naif : c’est leur loi islamique qu’ils cherchent à imposer et « vivre leur religion » comme vous dites passe obligatoirement par du prosélytisme forcé ou pas. Traitez moi de facho si vous voulez, mais je suis avant tout laïc et les religions doivent se pratiquer au niveau d’un loisir comme le sport ou la peinture et ne doivent jamais m’empêcher de vivre dans la France des libertés.