Commentaire de McGurk
sur Un nouveau confinement serait dramatique


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McGurk McGurk 28 octobre 2020 11:08

 Le premier confinement fut accepté parce que la vague était intense

C’est un mythe.

Toutes les données relatives à cette « première vague » (nombre d’infectés/morts) sont fausses et archi fausses. Tellement truquées qu’on nous annonçait des centaines de milliers de morts en France et des millions dans le monde.

La seule « vague intense » que nous ayons reçu était composée d’une agressivité politique sans précédent accompagnée d’un pouvoir de répression digne d’un Etat policier.

Il est donc impossible de disserter de la « réalité » de cette « vague » (ni de l’épidémie d’ailleurs).

En avril, le jour persiste jusqu’à 22 heures, en novembre, le soleil se couche avant 18 heures. Ce n’est plus la même dynamique saisonnière et c’est la déprime.

Il n’y a aucune différence entre être enfermé chez soi par beau temps et être séquestré à la maison par mauvais temps. On est juste enfermé et c’est tout.

Peut-on accepter d’abimer la santé de millions de Français pour une épidémie dont l’intensité attendue n’est pas encore celle de mars, pour autant qu’elle l’atteigne ?

La déprime ne s’explique pas uniquement par le fait de sortir et de cramer au soleil.

Si on ne peut rien faire et qu’on a aucune emprise sur sa propre vie, sortir ou pas est du pareil au même.

Le fait de pouvoir se projeter dans l’avenir de manière concrète est l’une des choses les plus importantes qui soit (du vécu et je le vis toujours). Etant à la merci d’un fou narcissique à tendance sadique, cette perspective est totalement annihilée car elle dépend de son bon vouloir.

Pendant deux mois, j’ai lu les réactions des gens sur Linkedin. Ceux-ci étaient certes très contrariés de ne plus sortir mais surtout inquiets de l’ « avenir » qui les attendait. Après un mois de confinement, la plupart pétaient déjà un boulon.

Là, on nous raconte que « pour sauver Noël on va nous enfermer à nouveau », ce qui crée de base un paradoxe. Si on veut « sauver Noël », on arrête de faire chier les gens et on les laisse le fêter en toute tranquillité, tout en les appelant à la prudence.

Noël à distance via ordinateur interposé, c’est comme regarder un mauvais film sur une télé pourrie. Autant abolir cette fête et par extension toutes les autres car c’est ce qui nous pend au nez l’objectif final est de nous enlever tout plaisir en nous transformant en fourmi bien obéissante, consommatrice et docile, qui travaillera jusqu’à la mort.

En résumé, vivre pour travailler (et surtout dans les conditions actuelles) est sûrement la cause principales de cette déprime généralisée. Si on ajoute en plus les intensions malsaines d’un pouvoir débridé et fou à lier, les psy vont avoir une avalanche de patients...

Confiner dans cette ambiance anxiogène est une mesure barbare, une sorte de punition collective pour une faute que nous n’avons pas commise.

Et ça ne vous gêne absolument pas d’être traité comme un môme de trois ans à qui on donne la fessée, qu’on brime sans raison apparente ? A qui ont dit quoi faire, quoi dire, quoi penser, à quelle heure se coucher ?

Quelle est, au final, la prochaine étape ? Le STO avec les camps de travail et les camps d’extermination (ou « rééducation » selon les termes du PCC) pour les « gaulois réfractaires » ?

Nous n’avons plus de liberté hormis celle de consommer, de voter et de fermer notre gueule.

Dans des temps pas si anciens, le gouvernement aurait été soit déposé par les citoyens, soit par l’armée. Ou sinon, ce serait devenu une guerre civile.

Notre peuple est devenu trop docile, incapable de réfléchir et de réagir. Beau résultat qu’une bande de zombies aux ordres d’un monarque fou.

L’épidémie n’est pas hors de contrôle. Nous savons que les autorités n’ont pas pris la mesure de la situation, confondant les cas et les malades et n’anticipant pas l’évolution des réanimations faute de modèles épidémiologiques fiables

Non seulement elle est parfaitement maîtrisable, mais elle pourrait prendre fin très prochainement si on avait pas des sadiques aux commandes.

Et non, contrairement à ce que vous dites, ils savaient parfaitement ce qui allait se passer et ils sont longtemps resté sur leur gros cul avant de déballer d’un coup toutes les mesures. Ca s’appelle de la procrastination à un stade très avancé (ou, si vous préférez, du je-m’en-foutisme jusqu’au-boutiste).


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