@Samson
La critique du Qi est facile. Elle est faite par des gens qui prennent leurs critères de reconnaissance et d’apprentissage comme la règle commune pour les autres
Un peu comme si les éléphants calculaient le Qi avec quelques déterminants
-Poids de l’individu, longueur de la trompe, qualité du barrissement !
Inutile de dire que les écureuils n’auraient aucune chance. Roco Siffredi, un peu plus, à cause de sa trompe. 
Mais l’intelligence, c’est autre chose que de faire des statistiques sur l’évolution du covid. Levi strauss s’en apercevra plongé dans la jungle avec les Herreros. Il découvre qu’il est crétin, ce qui est déjà une forme d’intelligence, en rapport au milieu. Chaque fois que l’homme se sent crétin, il devrait être content de l’occase qui lui est fourni. Une occasion d’apprendre est offerte.
Malheureusement les situations de révolution intérieure, la rencontre avec les grands déterminants de la vie qui tiennent à l’accident, au hasard, à la rencontre avec la mort ou l’épreuve, et que les anciens provoquaient parfois par des rituels d’initiation sont de plus absents. Les personnes avancent sur un rail, formaté par la sécurité, la famille, un projet fait à l’avance, excluant la surprise et l’envol, la capacité de se saisir, ce « Kairos » des Grecs. 
Il faut faire l’éloge de l’inconstance, de l’apragmatisme, de l’envie de brouiller les cartes et de jeter le puzzle en l’air pour avoir le plaisir de le reconstruire à sa manière.