Commentaire de velosolex
sur Dysphorie de genre chez les enfants et adolescents : Juristes pour l'enfance alerte


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velosolex velosolex 4 mars 2021 12:49

Bon article. Nous nous enfonçons dans la nuit. La culture et l’information sont aux mains de lobbys agissant, mettant en question les postulats les plus essentiels à l’humain. Des professeurs frapadingues font l’apologie du choix sur les déterminant du sexe, et osent parler de liberté pour banaliser et même mettre en exergue de tels changements, les associant à des choix personnels, banaux, Hors, ils sont tout autant guidés et instrumentalisés que les départs pour Daesh, figurant les nouveaux convertis à des « révélés ». 

C’est un nouveau totalitarisme qui se met en marche, associant bien sûr le monde du cinéma et de la représentation qui les promotionne, trop ravis de trouver une nouvelle ficelle de discrimination et de plaintes pour attirer le chaland. Perdant tout questionnement et éthique sur leur devoir, devenant des sources de propagande. 

Le message implicite : La normalité n’existe pas. Tout n’est que choix personnel. Le sexe n’est qu’un habit qu’on peut changer à loisir. Les gens qui font la démarche sont associés à des personnalités fortes, courageuses, attractives. « De belles personnes » comme on entend maintenant. On comprend que des gens faibles ou à problèmes, sans tentés d’expliquer ou d’hystériser par ce nouveau outil proposé. 

Les LGBT sont omniprésents dans le monde de la culture. On ne compte pas le nombre d’émissions où ils déversent leur propagande. L’écriture inclusive, cette ânerie insipide, tente d’imposer aux forceps au niveau du langage une OPA sur la pensée. Me revient en mémoire les travaux de Kemperer sur la langue, mis au pas par les nazis.

«  Son ouvrage LTI (Lingua tertii imperii, c’est-à-dire « la langue du IIIe Reich ») étudie les mots de la propagande nazie, la façon dont ils s’immiscent dans les esprits et imprègnent les comportements. Ce texte, dont il entame l’écriture en 1946, Victor Klemperer lui donne pour titre une abréviation, en référence à l’usage surabondant que le régime nazi faisait des sigles, pour susciter la mécanisation du langage et la déshumanisation des êtres. En de brefs chapitres, le texte mêle des considérations sur le vocabulaire privilégié par le régime, et des moments de la vie de Klemperer, qui tous entretiennent un rapport avec la dictature nazie puisqu’elle organise son quotidien. La rhétorique du IIIe Reich, analyse Klemperer dans son livre, vise en priorité les affects, et non la pensée qu’elle cherche à éliminer. La LTI éprouve « une haine de la pensée », écrit-il. Elle privilégie l’emphase et le superlatif afin d’habituer les esprits à l’exagération. Elle utilise de façon récurrente les termes du champ lexical guerrier, l’adverbe « héroïquement » notamment. Est héroïque celui qui ne craint pas la mort. Des termes connotés négativement se retrouvent chargés d’une valeur laudative, l’adjectif « fanatique » par exemple. Le fanatique est tout entier dédié au Führer. Plus la fin de la guerre approche, plus le régime demande aux Allemands d’avoir en lui une « foi fanatique ». La démocratie est qualifiée de « combative », la « ploutocratie » et le « système » sont dénoncés, et exécrés » Extrait d’un article de Libération


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