@eau-pression
C’est compliqué, cette conversation, parce que ça conduit dans tous les sens.
Je mettais principalement derrière « marionnette », l’individu fabriqué par sa famille et la société, qui se trouve donc conforme à sa place et apte à faire perdurer les choses.
Celui-là, donc, est fort de sa place, son rôle, le respect qu’on lui doit.. tandis que le gueux n’ayant pas tout ça, peut être effectivement tout à fait fragile, selon l’histoire familiale principalement pour lui, mais sinon, il est beaucoup plus apte à faire face aux épreuves, à débloquer son inventivité pour bidouiller des conforts ou bien seulement le nécessaire.
L’un est riche d’atours, mais affreusement fragile si quelque chose d’inédit lui tombe dessus, l’autre est fort dedans, mais peut se faire démolir par la société !
Mais mets les tous les deux à poil quelque part où il n’y a personne, le premier meurt plus vite que l’autre qui a plus de chance de s’en sortir.
C’est très simple : les atours sont une cuirasse, donc protection maximum au dépends du vivant, mais ordinairement celui qui en est doté a beaucoup plus de chance de passer une vie sans trop de tracas dans le bain pour lequel il a été conçu !
Le Franc-Maçon fait partie de la première catégorie, mais se hisse vers une élite beaucoup plus cultivée. Comme les « hommes d’affaires » vers une élite financière...l’homme adore les élites ! enfin ceux qui sont définis par le bain dans lequel ils trampouillent !!
( je ne le répète jamais assez : c’est comme ça que je vois les choses : le « je » s’affirme, sans faire la guerre aux autres « je » qui s’affirment autrement ! sauf agression bien sûr)