Commentaire de ETTORE
sur La loi du plus fort


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ETTORE ETTORE 2 avril 2021 14:50

Ca y est !

 Nous avons eu notre «  POISON »d’Avril !

Le rebouteux en chef, a fait le nécessaire pour anesthésier toutes velléités de vivre normalement .

En ce printemps radieux, ce n’est pas le bourdonnement des abeilles butineuses que vous entendez, non, ce sont les basses vibrations émises par le tremblement de peur, qui sévit au fond du slip du REXponsable intermittent du spectacle de la débâcle organisée .

Et comment a t’elle été avancée et mise en scène, cette transmission , carpette, crotte pieds..... ?

D’abord attaquer la masse à coup de chiffres ( pipeautés), faire pleuvoir des annonces alarmistes et dégoulinantes, poisseuses, via les méRdias, comme vache qui pisse, faire venir les appariteurs maquignons, du fait de la langue pendue, qui en bavent à s’en éclater les glandes, de mouiller pour leur masturbateur d’idées iconoclastes !

Et enfin, annoncés par les écritures et surtout les m(s)inistres ES ratures, le Messie, ( non, pas le joueur de foot, quoique, on aurait sûrement gagné, avec lui, plutôt qu’avec ces tripoteurs de juges de touche )

Austère et mal joué, un regard à la fixette, il EST le prompteur menteur, il EST la camera bonimenteuse, le reste compte si peu. Tout est effacé, par la honte du spectacle vomi !

Il croit que cette comédie résisteras au soleil du mois de mai, il veut nous la jouer à la chinoise, se prendre pour Mao, et imposer la grande marche, à l’ombre de son

« conseil de sécurité » son faux livre (nez) rouge, plagiat d’une histoire déjà dépassée et é(n)culée, qu’il persiste à inoculer à force de seringues, qui giclent les dollars en leasing, dans les petits bras des vieux, pour débiter les comptes de leur progéniture., qui débiterons...à leur tour, la leur !...

Ben, non ! Nous ne sommes pas bridés et nous avons eu d’autres grands hommes, politiques, pour qui la République et la Démocratie, , et LES Français, n’étaient pas un trio stérile se limitant à, putes, macs et clients ! ( et tous bons à taxer, coûte que coûte ).

Mais voilà, quand on ne finis pas ses études, et qu’on est obligé d’avoir une prof à perpette...Cela explique beaucoup de chose !

Surtout le fait, qu’on arrête( détermine) ses actions, à la petite frontière exiguë de ses connaissances difficilement acquises !


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