Commentaire de Mélusine ou la Robe de Saphir.
sur Le succès de la mode jetable...


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 10 avril 2021 10:00

Extrait : 

Si, pour soutenir cette demande, une proto-industrialisation a vu le jour, les petits ateliers urbains comme celui de Douai ont longtemps résisté, grâce à des services de proximité comme l’entretien et la réparation. Cela va de la bassine aux grandes cuves de cuivre pour les brasseries ou teintureries, nombreuses à cette époque.

Aujourd’hui encore, quand c’est usé, on jette et on rachète. « La connaissance de la société médiévale peut nous conscientiser sur le fait qu’un déchet est une ressource, et que jeter des objets du quotidien n’est pas une fatalité », relève Lise Saussus. De leur époque pas si lointaine qu’il n’y paraît, nos ancêtres médiévaux n’ont pas fini d’éclairer notre quotidien.

« Travailler le cuivre à Douai au XIIIe siècle : histoire et archéologie d’un atelier de proximité, Douai », Lise Saussus, avec Nicolas Thomas, Marisa Pirson et Benjamin Jagou, Association Les Amis d’Arkeos et UCLouvain, 2019, 277 p., 


Voilà mon rêve pour le futur des enfants. Un retour en arrière ???? Non cent fois sur le métier. Et quand une époque fut ratée. Comme les 200 années qui nous précédent, et bien on revoit sa copie.. Ayons au moins l’humilité de la reconnaître. L’industrialisation (la Babylone du 19ème et 20ème siècle fut un échec...). quand en 84, les jeunes planchaient sur l’ABC de l’informatique, je lisais Jeanne Bourin. elle est admirative pour la société médiévale qu’elle a bien étudiée et qu’elle restitue dans le cadre de ses romans. La Chambre des dames connaît un grand succès et fera l’objet en 1983 d’une adaptation sous forme d’un feuilleton en dix épisodes réalisé par Yannick Andreï.

Voir ce commentaire dans son contexte