@Coriosolite

On peut donc en conclure que le criminel, maintenu en établissement de soins (pas en prison ! ) depuis 2017, sera fondé à exiger sa libération immédiate et à demander à l’Etat une indemnisation pour 4 ans de privation de liberté illégale.

Le Droit pénal a pour fondement et but à la fois une fonction réparatrice pour les victimes et une fonction de renforcement de la cohésion du corps social en mettant hors d’état de nuire les criminels.

Le non-lieu prononcé en faveur ce criminel aura du mal à convaincre les citoyens que l’institution judiciaire et ses personnels rendent la justice « au nom du peuple français ».

Car je suis persuadé qu’un jury populaire aurait rendu un verdict un peu différent.

Mais ça n’arrivera pas.

Une leçon pour les futurs criminels : fumez un maximum de joints avant de passer à l’acte. C’est la certitude du crime parfait car impuni

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Vos explications sur le jugement et sur ces conséquences sont incontestables ;

Le non-lieu est une aberration surtout que la qualité d’agression antisémite a été retenue.

Ce criminel peut ressortir n’importe quand, il suffit qu’un expert le décide ou que l’on juge les services débordés.

Que la prise de drogues ou d’alcool devienne une circonstance atténuante est loufoque ;

Quand aux jurys populaires, on parle e les réduire. Le peuple sera encore plus écarté des décisions.