Commentaire de moderatus
sur L'assassin de Sarah HALIMI ne sera pas jugé. « La justice a des bouffées délirantes »


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moderatus moderatus 17 avril 2021 09:11

@Francis, agnotologue

 ’’la sanction du procès aurait pu être légère, les juges sont libres de décider’’
 
 Cela aurait été encore pire.
 
 Ceci dit, il y a probablement une lacune dans notre Droit qui fait que le doute profite à l’assassin et lèse les victimes.

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Bonjour,

le problème c’est que l’on a tué Sarah deux fois à mon avis
En premier par l’acte barbare bien sur
En second en refusant un procès qui aurait été un du à sa mémoire et on a prové la famille du droit de faire son deuil.

ma cible est la justice comprenez moi. 
une autre affaire qui mériterait un article sur l’injustice de la justice 

c’est long mais mérite la lecture.


Les parents d’une jeune fille de 17 ans, violée le 24 octobre 2020, vont attaquer l’État pour « faute lourde ».



Selon l’avocat des parents, Me Fabien Rajon, l’agresseur de cette jeune fille aurait en effet été libéré prématurément de prison, le 5 mai 2020.


Les parents de la jeune fille indignés

La libération anticipée de l’individu scandalise les parents de la victime.  « La justice a relâché un individu dangereux et notre fille en a subi les conséquences. La justice n’a pas accompli son devoir. Cette affaire est un véritable scandale », a quant à elle déclaré la mère de la victime.

Une récidive de l’individu était-elle prévisible après sa première agression sexuelle ? La décision rendue par le juge de l’application des peines, ayant permis la libération conditionnelle de l’individu le 5 mai 2020, fait débat. L’expert psychiatre évoquait « un risque de récidive qualifié de moyen, qui ne peut pas être éliminé et une tendance du détenu au passage à l’acte hétéro-agressif », rappelle Me Fabien Rajon. De son côté, le parquet de Lyon met en exergue plusieurs éléments relevés par le juge d’application des peines dans le cadre de sa décision. Selon ce dernier, « l’intéressé semble prendre conscience de la gravité des faits et du dommage causé à la victime » et « le suivi psychologique initié en détention semble porter ses fruits ». « Une promesse d’embauche a été adressée au détenu à la suite d’une rencontre avec un employeur lors d’une permission de sortir qui s’est bien déroulée », note-t-il également..

*Le prénom a été modifié.


Et il exécutait une condamnation de cinq ans d’emprisonnement, dont un an avec sursis, pour des faits de violences, agression sexuelle ainsi qu’arrestation, enlèvement, séquestration ou détention arbitraire avec libération avant le 7e jour commis dans un contexte conjugal.


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