@Philippe Huysmans, Complotologue
cette réduction de la surmortalité à un simple rattrapage est spécieuse, cela peut jouer sur deux ou trois ans, mais la tendance sur les huit dernières années « absorbe » les effets de retard et rattrapage, et de de celle-ci qu’est établi la mortalité prévisionnelle d’où a été déduite la surmortalité.

référence https://www.ined.fr/fichier/s_rubrique/31218/587.populations.societes.mars.2 021.deces.supplementaires.covid.19.1.fr.pdf

« La France métropolitaine a enregistré 654 000 décès en
2020 [1, 2]. Soit 55 000 décès de plus que les 599 000 de
2019. C’est une hausse de 9,2 %. Mais une partie de cette
hausse – de l’ordre de 13 000 décès – est due au vieillissement
de la population qui s’observe chaque année en
l’absence de gain d’espérance de vie. Restent donc
42 000 décès supplémentaires en 2020, liés à la pandémie
de Covid-19 ».

L’Ined cherche ensuite, dans son article, à justifier l’écart entre les 68 000 décès comptabilisés Covid et cette surmortalité de 42 000, en expliquant que d’autres cause habituelles de mortalité ont diminué du fait de la faiblesse de la grippe de janvier/février, de la baisse de mortalité routière etc. Mais je n’entre pas dans ces considérations. Par contre, il explique que les comorbidités ont entrainé des décès qui auraient eu lieu de toute façons, je considère qu’il faudrait les défalquer des 68 000, voilà pourquoi les 42 000 me semblent plus représentatifs.