Commentaire de Abolab
sur Une autre palliation, thérapeutique, est possible : mensonge d'Etat quant à l'utilisation mortelle des benzodiazépines pour la COVID-19
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@chantecler
Le clonazépam et le midazolam semblait premièrement utilisé dans le cadre de la COVID-19 : ces benzodiazépines étaient et sont prescrits pour l’anxiolyse dans le cadre de la dyspnée et pour « endormir » les malades dans le cadre de la détresse respiratoire.
Faire mourir les malades, ils appellent cela les « endormir » dans leur novlangue orwellienne médicale....
Nul doute que les benzodiazépines dans le cadre de la dyspnée peuvent contribuer à la mise en place d’une détresse respiratoire, étant donné que ces médicaments sont contre-indiqués pour les maladies respiratoires et d’autant plus chez les personnes âgées dépendantes dont la sensibilité aux médicaments peut être grandement accrue du fait de leur vulnérabilité.
Un patient sur deux prenant des benzodiazépines présente des effets indésirables, et d’autant plus chez les patients avec des troubles respiratoires préexistant, ce qu’induit la COVID-19 :
« Chez ces patients-là, les benzodiazépines vont ajouter à leurs difficultés. Certes, ils vont traiter l’anxiété, mais peut-être au prix de les rendre encore plus malades », estime le Dr Lisa Blecha.
Le syndicat des Jeunes Médecins avait demandé l’annulation du décret :
« L’administration de cette molécule (contre-indiquée en cas d’insuffisance respiratoire) à un patient souffrant du Covid-19 aura pour effet d’atteindre une sédation terminale à domicile entraînant le décès »