C’est au pied du mur qu’on voit le franc-maçon. Mais on ne les voit jamais ces planqués.

Je suis contre les sociétés secrètes. La réflexion citoyenne doit s’assumer au grand jour. Ici même et, pourquoi pas, si un jour cela est possible, au sein d’une chambre de citoyens (nationale) dans le cadre d’une république rénovée ou une « loge citoyenne » au sein de nos institutions.

Je suis voltairien. Je préfère penser seul. Voltaire garda toujours ses distances avec les loges. On le surnommait le « franc-maçon de tablier ». Il finalement rejoint la loge des Neuf Sœurs en 1778 mais il leur a fait un bon pied de nez en rendant son tablier de « franc-maçon de tablier » en mourant moins de deux mois après. Timing parfait.

P.S : Vous en appelez aux frères ? Mais n’y a-t-il encore que des hommes dans cette société obscure ?