Commentaire de Legestr glaz
sur Effets indésirables : les vaccinés se sont exprimés


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Legestr glaz Legestr glaz 8 septembre 2021 08:48

@Legestr glaz

Pour Michel Drouet : l’ivermectine serait donc « dangereuse » ? Et le traitement de masse à l’ivermectine n’existe pas ?

  • Le traitement par l’ivermectine sous directives communautaires (TIDC) est la principale stratégie pour éliminer l’onchocercose en Afrique ; la stratégie adoptée dans les Amériques est le traitement de masse semestriel à l’ivermectine.
https://www.who.int/fr/news-room/fact-sheets/detail/onchocerciasis

Elle est « super dangereuse » l’ivermectine ! 

« Le Programme de lutte contre l’onchocercose a soigné l’infection chez 40 millions de personnes, dont 600 000 ont ainsi pu être sauvées de la cécité, et a permis de faire en sorte que 18 millions d’enfants naissent sans que pèse sur eux la menace de la maladie et de la cécité. En outre, 25 millions d’hectares de terres arables abandonnées ont été récupérés pour la construction de logements et la production agricole, ce qui permet de nourrir 17 millions de personnes par an. »

Lors de la dernière année, plus de 119 millions de personnes ont été traitées à l’ivermectine et de nombreux pays avaient obtenu une baisse importante de la morbidité liée à l’onchocercose. Plus de 800 000 personnes en Ouganda et 120 000 au Soudan n’avaient plus besoin d’ivermectine au moment de la fermeture de l’APOC. En 2017, plus de 145 millions de personnes avaient bénéficié d’un traitement en Afrique où la stratégie de traitement par l’ivermectine sous directives communautaires a été mise en œuvre, ce qui représente plus de 70% de la couverture mondiale.

Le 5 avril 2013, le Directeur général de l’OMS a publié une lettre officielle confirmant que la Colombie était parvenue à éliminer l’onchocercose. La Colombie est le premier pays où l’élimination de l’onchocercose a été vérifiée et déclarée par l’OMS. Ensuite, l’Équateur a été le second pays à être déclaré exempt d’onchocercos en 2014, suivi du Mexique en juillet 2015 et du Guatemala en juillet 2016. Plus de 500 000 personnes n’ont plus besoin de l’ivermectine dans les Amériques.


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