« Un humour très »Charlie« mais qui passe très mal auprès de la police de la pensée. »

Je vous invite à réviser vos « classiques » : si « Charlie » reste la seule et dernière institution française à encore être érigée en symbole de la sacro-sainte « liberté d’expression » et disposer de son exercice, c’est du fait même que sans avoir nul besoin d’aide, il sait mieux que quiconque s’auto-censurer ! Comme quoi, l’actuelle police de la pensée sait elle aussi « rigoler » à ses moments perdus !

Dans un monde régi par la doxa de la Pensée Unique, je doute qu’existent encore des humours de « gauche » ou de « droite » : la ligne de démarcation ou plutot de fracture opposant désormais les tenants d’un « progressisme sociétal » et d’une « cancel culture » totalement solubles aux intérêts bien compris du grand capital dans leur « défense » des plus improbables minorités « opprimées » et les tenants de la norme, qu’elle relève de la lutte des classes, de la différence sexuelle ou des us et coutumes traditionnels.

Enfin ! Convenons que tout est bien dans le meilleur des mondes quand du fait même de l’obligation du pass sanitaire contesté par Cassandre Fristot - quelle meilleure « preuve d’incivisme, d’indifférence et pour faire de la contestation bêbête quand on n’a plus rien à dire » -, cette « crétine parano » n’aura pas eu l’occasion de vous gâcher la visite du château de Comper (35) et de son centre arthurien. Toujours çà de pris !

J’espère donc que vous avez passé de « bonnes vacances » et vous présente mes respectueuses salutations !