Commentaire de eau-pression
sur Un vingt-deux septembre au diable vous partîtes...
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L’indifférence nouvelle ...
Tenez, professeure, comment peut-on éviter la double négation de « pas indifférente » ? Et au fait, l’avez-vous été ?
Parce que dans le dernier vers, Brassens vous demande : est-ce possible d’être aussi froide ?
Et pas trop exigeante, avec ça. Un petit comparatif avec Aragon aurait été bienvenu. Et d’ailleurs, pourquoi Brassens et les autres interprètes ne chantent-ils pas la dernière strophe ?
Il n’y a pas d’amour qui ne soit à douleur
Il n’y a pas d’amour dont on ne soit meurtri
Il n’y a pas d’amour dont on ne soit flétri
Et pas plus que de toi l’amour de la patrie
Il n’y a pas d’amour qui ne vive de pleurs
Il n’y a pas d’amour heureux
Mais c’est notre amour à tous les deux