@Fergus

Vous avez parfaitement raison : lors de la privatisation, les boîtes privées ont mis la main uniquement sur les lignes présumées rentables, les autres restant dans le giron public. 

Ce n’est pas du tout le cas de la France. 

C’est une ouverture à la concurrence en aucun cas la SNCF ne se retire du marché. Pour etre plus précis, il existera 3 secteurs différents. Vous trouverez ces informations sur le site de la SNCF.

En gros un secteur libre, les LGV ou les opérateurs peuvent intervenir librement. Et deux secteurs où ce sont des appels d’offres et donc des mises en concurrence. Le premier niveau concerne les lignes de courtes et moyennes distances, là c’est l’Etat qui est l’organisateur, le second concerne les TER et lignes courtes, là ce sont les régions qui sont les organisateurs. 

Cette manie de décrire la concurrence comme mauvaise a été utilisée pour les télécommunications. France Télécoms abusant de sa position de monopole public était arrivé à des abus : faire payer à des prix prohibitifs les communications locales, interrégionales, et je ne parle même pas des communications internationales ... Devenu Orange, personne ne conteste plus la qualité de cette société pour fournir des services aux clients exigeants, d’autres opérateurs tels que Free sont agressifs sur les prix, ... Chacun y trouve son interet, le changement d’opérateur est organisée et facilité, une vraie liberté ...

La concurrence cadrée par des obligations de services, des obligations de couverture, ... est une solution pour permettre une varie amélioration du service aux clients.