Bon,

Il est facile presque deux ans après de formuler des critiques, sur ce qui s’est passé, maintenant que nous avons un peu plus de recul sur l’affaire.

Car rappelez vous, au début c’était quand même le monde du silence de toutes parts.

Maintenant, cela fait ressortir comme il est écrit dans l’article une sorte d’incompétence globale de « l’occulte monde médical » qui nous a plongé par ses conseils aux dirigeants dans une vision apocalyptique suivie d’un retour au moyen âge par les mesures. Nous avons assisté ensuite à une des plus grande bataille d’égo (et Dieu sait, que ce dernier est bien présent dans ce monde), pour finir dans une absurdité complète des mesures, avant qu’un « semblant » de bon n’arrive.

Rajoutez à cela, une véritable tempête médiatique, basée sur un sensationnalisme, « morbidifère » de surcroit.

L’assourdissant silence, de ceux qui critiquent aujourd’hui.

Les mensonges formulés par une Direction politique ignorante

Et tout cela nous donne l’immense bordel dans lequel nous sommes, et qu’il me semble que certains veuillent maintenir, ayant constaté une certaine servilité de la population, qui semble avoir perdu son bon sens, faisant ressortir à quelques moments les mauvais cotés de l’humain, puis par la suite l’égoîsme individuel caractérisant si bien la société actuelle.

Devant l’ignorance caractérisée du début, je ne jetterais pas la première pierre, par contre au fur et à mesure du temps, le manque énorme de pragmatisme, la perte totale de bon sens, l’indécision aussi caractérisant si bien « nos politiques », la continuité des « mensonges » ou abus de langage sont scandaleux.

Maintenant la question suivante est :

— Fallait-il dire aux Français dès le début, la vérité, notre méconnaissance, notre panique devant les décès, etc...... ? Reste ouverte.

Rappelez-vous tout de même, lors du premier confinement l’attitude étrange totalement irraisonnée de la population.

Nous avons assisté, à l’apparition d’un grand de sable, perturbant tout le modèle économique, bouleversant aussi le train-train habituel, faisant ressortir les limites du modèle, l’incompétence politique aussi (de tous bords) à gérer une situation de crise (ce qui en dit long sur d’autres situations à venir). La folie médiatique, qu’il aurait fallu réguler dès le début, pour leur rappeler la différence entre l’information et le sensationnalisme.

Quand au monde médical, c’est je pense le pire, et ce n’est pas les quelques médecins, professeurs, etc, qui ont su garder la tête froide qui changera l’image de ce système qui me paraît un poil « corrompu », se reposant surtout sur des lauriers gagnés par leurs pairs, les ayants hissés dans un statut « d’élites » qu’il ne me semble plus être.