Commentaire de Réflexions du Miroir
sur Les psys ne sont-ils pas les victimes de leur propre science humaine ?
Voir l'intégralité des commentaires de cet article
@chantecler
Bonne question sur Windows....
Qui a commencé Windows ?
Le Apple de Steve Jobs.
Deux visionnaires du futur étaient en présences : Steve Jobs et Bill Gates au moulin.
Mais qui était réellement au four ? Steve Wozniak
Je vais vous dire qu’actuellement, je teste Windows 11.
J’ai toujours fait partie des informaticiens qui aimaient tester (pas uniquement Windows d’ailleurs). Il y a eu aussi le soft non propriétaire qui était écrit par des gens dans le monde.
Je testais tout ce qui me tombait dans les mains, même ce qui était défendu au bureau.
Le service technique rigolait quand je revenais avec mon « bidule » qui ne fonctionnait plus « vraiment » et qu’il devait alors recharger une version en provenance d’une image enregistrée à un moment stabilisé. Je perdais évidemment tout ce qui était annexe si je n’avais pas de sauvetage en backup.
La nouvelle version Windows 11 qui n’a pas encore de statut fixé, Windows adore les gens qui feront les tests à leur place..
Presque tous les deux jours, il y a une correction qui doit être installée pour surcharger la précédente pour des raisons souvent de sécurité. Cette version avant sa sortie a en effet, déjà été attaquées.
J’ai eu comme tout le monde la version 95. Elle ne travaillait pas encore en multi.
En parallèle, si vous vous souvenez, il y avait la version NT professionnelle bien plus stable.
Je n’ai pas testé les versions 98 et autres prédécesseurs.
Le marketing a poussé à sortir une foule de version qui
Puis est arrivé la version 10 stabilisé pour le particulier et le monde des entreprises.
Comme il y avait un CEO indien à la barre, il a été décidé que cette version était gratuite pour annuler les crashs des versions précédentes.
Le bénéfice à trouver était ailleurs, dans les softs d’applications annexes.
Je ne sais si vous vous rendez compte de la machine à gaz de Windows et des millions d’instructions qui s’y cachent.
Au début de ma carrière, j’ai fait partie d’une startup. Tout était à créer « from scratch » (comme on dit) dans la programmation du système. C’est là, que j’ai tout appris et pas dans la suite.
On a créé un émulateur d’un ordinateur 30 sur une petite machine Singer avec un mini écran de 10x8 cms. et aussi ce qu’on appelle aujourd’hui « SQL » mais avec un input en cartes perforés en langage JCL.
Puis j’ai été dans une multinationale dans l’applicatif qui utilisait les concepts du système en utilisant des softs existants comme Oracle.
Si vous saviez le nombre de fois et de version que j’ai participé dans l’élaboration de l’applicatif...
La difficulté pour un informaticien était d’avoir des patches de développement d’une nouvelle version qu’il fallait intégrer dans la maintenance d’une ancienne.
Des tests sur plusieurs machines (de test) validés par des équipes et l’acceptation finale de pousser en production, avec le risque toujours existant, que la machine de production fait découvrir des données qui n’étaient pas prévues dans le cahier des charges, avec le stress....
C’était un métier relativement bien payé.
Puis on a pensé que le prix des informaticiens devaient suivre la même dégringolade du hardware. Aujourd’hui, l’informaticien doit se munir de caractéristiques annexes et de notions plus évoluées dans d’autres domaines de spécialisation.
Il y a un job spécial chez celui qui doit pouvoir dire après analyse, que la version 12.5 d’un soft fonctionne sans problème avec la version 15.12 d’un autre.
J’aime beaucoup Joel de Rosay mais lui parle dans un niveau supérieur dans ces conférences. Il ne vous dira jamais ce qui se cache derrière ses révélations.