Commentaire de rpplbis
sur Lettre ouverte à Irène Théry et au magazine « Philosophie »
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J’ai de nouveau proposé la lettre ouverte aux juges qui déclarent manquer de temps.
J’ai reçu le commentaire suivant, je ne sais pas de qui : « Ne vous êtes vous pas trompé de lieux et de support à vos doléances conjugales. Vous aviez déjà proposé ce billet d’humeur. »
Cette lettre est tout, sauf un billet d’humeur. Il n’y a que des faits. Il n’y a que des actes et des écrits des juges et de leurs envoyés.
Ce n’est pas une doléance conjugale pour deux raisons : le problème n’est pas conjugal, il est judiciaire, ce qui n’a rien à voir et ce n’est pas une doléance, c’est un acte de mon combat pour ma réhabilitation et le recouvrement de ma dignité de citoyen.
Agoravox étant un journal citoyen, donner à la connaissance de tous, les faits que je raconte rentre pleinement dans la définition d’un journal et dans la définition de la citoyenneté : je demande ma citoyenneté, c’est ce que j’écris partout, c’est ce que je demande : la protection de la loi alors que celles et ceux qui avaient en charge de me l’accorder et de l’accorder à mes enfants ont commis des actes délictueux, (des diffamations) en grand nombre.
Ce sont ces diffamations que je porte à la lecture de mes concitoyens dans un journal citoyen.