@Joséphine
Bonjour Joséphine.
C’est exact, et c’est en même temps un filtre de lecture, qui est imposée par les médias.
On ne peut nier, le mal être global de la société.
On peut même établir un classement des eczémas et autres démangeaisons, qui mettent à mal notre peau, notre vie....
La ceinture de chasteté liberticide, que LaREMR2 et CONsorts, font porter au peuple, pendant que eux, restent les bras CROISES à festoyer, et défendre des guerres qui ne sont pas les notre$, mais qui rapportent, aux organisateurs patentés de ce boxon.
Et quand ces lardons, reviennent de leur croisade, ils violent, tuent, massacrent, leur peuple, comme si la guerre était une queue, qui leur pend toujours au cul.
La désinformation est omniprésente . C’est la marque de fabrique qui sert de paravent à ces nullissimes.
On ne peut pas empêcher les personnes d’avoir des récriminations différentes, puisque chacun subit selon sa douleur personnelle.
Mais l’essentiel est d’être là !
Même si le filtre devient de plus en plus colmaté, ceux qui y sont, qui racontent, qui filment, qui s’expriment, sont autant de forces vives luttant contre ce courant à contre pensée, que ces saumonés étatiques, veulent combattre, en ouvrant grand les vannes du mensonge.
On peut sembler être dispersé, soit ! Mais l’essentiel est la masse des revendications. Quelles quelles soient, et c’est ce nombre, non filtrable, pour être bu comme laxatif communicable, qui est le plus important.
Il faut que l’Hélico se pose sur la pelouse Eliséhaine.
Que les rats quittent le tonneau pourri qu’ils ont vérolé.
Qu’ils disparaissent avant que leur pieds, ne touchent plus le sol, ou que leur tête se désolidarise de leurs autres organes de luxure.
C’est la volonté première qui émerge très clairement de toute cette vague.
Et croyez moi, ces « lâches » ne brillent pas par leur courage.
Insistants, soit, jusqu’à un certain point, ou ils préfèrent la marge de sécurité, ,plutôt que d(y laisser les plumes, à une France, qui culturellement, à toujours un réveil historique, face à ces malversations étatiques.
Et l’histoire à souvent des rôts de trop plein .