Commentaire de Mellipheme
sur Des corps
Voir l'intégralité des commentaires de cet article
Vous écrivez : "le langage qui s’approcherait le plus de ce qu’est un corps ne dirait que des perceptions et ne concevrait rien.
"
Mais serait-ce encore un langage humain ? Le propre de l’Homme n’est-il pas de concevoir ?
La nuit, au large loin des lumières des villes, je contemple la voute céleste. Je conçois alors le Tao, le souffle primitif, l’unité du Tout, le réseau illimité des interdépendances. Certes, le corps vibre mais l’esprit est là qui travaille.
----—
Cela dit, merci pour votre beau texte poétique !