Commentaire de Kaa
sur Violences faites aux femmes : une triste banalité
Voir l'intégralité des commentaires de cet article
C’est une question de « ressnti », comme on dit à Météo-France.
L’idéologie de la discrimination positive consiste à « favoriser certains groupes de personnes victimes de discriminations systématiques », en vue de rétablir l’égalité des chances.
Ces discriminations peuvent être de nature raciale ou être fondées sur le sexe, la religion, l’âge, le handicap ou encore le statut social.
Mais la question est moins de s’assurer de la pertinence de ces classifications et des injustices qu’elles subissent que de faire naitre des débats et des revendications de mesures analogues de la part d’autres groupes discriminés pouvant eux aussi exprimer un sentiment d’injustice, l’objectif principal étant de focaliser l’opinion sur ces sujets et permettre ainsi une autre pratique complémentaire : mes « wedge-issues ». Les deux techniques et le fatras idéologique qu’elles véhiculent sont originaires des Etats-Unis et, comme les tortues de Floride et les ragondins, elle ont un effet inasif fulgurant qui va jusqu’à évincer les espèces et convictions autochtones.
La clique LGBT en est un exemple éclairant.