Commentaire de quijote
sur Moi, mère célibataire, j'en ai plus qu'assez


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

quijote 21 mai 2022 07:55

La répartition des richesses peut et doit être tempérée à intervalle régulier dans le capitalisme. Il est possible, sinon probable, que ce soit le moment de rétablir un certain équilibre dans la répartition des richesses en occident. Mais venir dire « regardez ce milliardaire américain d’un côté et ces africains qui gagnent 1€ par jour, quel scandale ! » est une ânerie. Parce que l’américain vit en occident et l’africain vit en Afrique. Enfin, avant de venir s’installer en France à nos frais...

C’est le rôle de la gauche de se préoccuper du sort des déshérités.

Mais, un, faire venir du pauvre par millions de très loin pour maintenir son électorat est une trahison. Une forfaiture. Normale pour des trotskystes... C’est-à-dire des gens qui pensent que le bonheur sur terre viendra de la dictature du prolétariat au niveau mondial... Peu ou prou le projet de l’ami Schwab et aussi celui de tous les Soros du monde. L’ouverture obligatoire à tous les vents... Que Dieu nous préserve de ces zombies ( la masse qui y croit ) et de ces psychopathes ( le 1% qui restera aux commandes après le « Grand Reset » : bah ouais, qu’est-ce tu crois ? )...

Deux, comment mettre en place un système moins inégalitaire ( car si le but est l’égalité, c’est le retour au un..., le cauchemar ) sans détruire ce qui a fait que l’occident s’est développé comme il l’a fait ? Un système d’économie mixte correctement tempéré ( secteur privé ET secteur public ) avec des gens honnêtes, compétents, désintéressés et aussi peu idéologisés que possible aux commandes. Ce dernier point me paraît fondamental. Car c’est le « Bien » qui nous a amenés là où on est maintenant. Sortir de l’état d’hypnose dans lequel nos élites nous ont placés en tant que nation. Retrouver la capacité à dire « non » sans culpabiliser : « ils sont noirs et ils sont très très très très pauvres : on peut pas dire non ! ».

Si. Non seulement on peut, mais on doit.


Voir ce commentaire dans son contexte