Commentaire de Durand
sur L'homme qui aimait la terre, la paix, les arbres
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Comme un poisson dans l’eau de la Révolution Nationale, incapable de choisir son camp, le poète, avec talent, troque dans ses rimes géorgiques sa perfection rêvée d’un passé sans avenir pour un avenir sans honneur. Quand même Céline sut éviter ce piège, Giono s’y coula par faiblesse... Quel Karma !
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