@Legestr glaz

Effectivement, mais quel objectif caché derrière cette stratégie ?

mon avis personnel est de mettre en place un monde orwellien, opposant deux blocs de manière à leur permettre de réaliser le fumeux grand reset, mais qui exige de désigner l’ennemi extérieur à la vindicte populaire comme coupable, aussi, les restrictions sont parfaites, sous condition que ce soit Poutine le coupable !

Le hic, c’est que les pseudos opposants se trompent de cible et loin de combattre Macron, jouent pleinement le jeu, car l’ennemi n’est pas la mondialisation, tout comme la solution n’est pas la souveraineté nationale, ni la multipolarité, mais la mondialisation sociale fondé sur le mérite personnel et non plus son exploitation par une petite minorité, telle que le défendent autant Poutine que Macron. Le premier voulant s’arrêter aux cadre des nations, le second ,réduire ce cadre à deux blocs de nations opposés. Autrement dit, remettre en place la guerre froide où l’élite des deux blocs pourront continuer à s’assurer de la soumission volontaire de leur propre population, car c’est toujours cette dernière qui est la cible prioritaire des dirigeants, l’ennemi servant ce but avant toute chose. Car la fin de la guerre froide à signé autant la fin de l’URSS que la domination des dirigeants des USA, pour eux, réactiver la menace extérieure est la condition pour espérer continuer leur domination, car c’est la condition absolue.

Le pire ennemi du chef, c’est la paix, son meilleur allié étant la guerre ou menace de guerre, autrement dit, l’état d’urgence permanent qui garantie, seule, la soumission volontaire, sans cela, il n’y a plus de justification à la soumission. Mais seule la mondialisation sociale permettra de s’affranchir de dictateurs, d’une élite dominatrice. Bref, continuez à militer pour la pseudo souveraineté des peuples, vous ne faites que militer pour la domination de l’élite actuelle ou d’une autre plus violente encore, mais vous n’aurez jamais la paix et la liberté, seulement l’état de guerre permanent des citoyens les uns contre les autres et le maintiens de son immaturité politique.