Commentaire de moderatus
sur « Je ne souhaite pas que mon village Colombey-les-deux-églises s'appelle un jour Colombey-les-deux-mosquées. »


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

moderatus moderatus 20 septembre 2022 07:39

@Le bébé de Macon

d’où vient donc cette idée loufoque de transporter non plus les villes à la campagne, en France, comme le rêvaient les technocrates d’autrefois, mais les villes étrangères dans nos campagnes françaises ? Ce projet fou est venu cette semaine d’un tandem particulièrement funeste, un tandem qui ne fait plus qu’un à force de parler d’une même voix, celui d’Ursula von der Leyen et Emmanuel Macron.

Je n’ai rien lu à ce propos.
Ensuite si ça n’a pas marché dans le temps... pourquoi s’inquiéter ?

Bien sur, l’omerta est complète , on ne veut pas vous inquiéter.

Une « hijra » dans les campagnes françaises !

Ceux qui n’ont pas les moyens d’émigrer dans ces pays étrangers se tournent parfois vers les campagnes françaises. Une sorte de « hijra de l’intérieur ». Les villages sont jugés moins impurs que les villes, car on peut y vivre un islam rigoriste sans se voir flanquer un PV à chaque coin de rue pour port de la burqa.

« Nous savons bien que le mieux c’est une hijra en terre musulmane, nous avons essayé et nous avons du rentrer pour différentes raisons, en premier lieu visa... Bref donc en attendant, quitte à devoir rester en France, au lieu de rester à bosser pour des koufars [NDLR : mécréants] en ville, faire des aller retour canapé, lidl, mosquée, manger de la viande dont tu n’est même pas certain à 100%, autant s’organiser... » explique une internaute sur un forum musulman. « Ce n’est rien de moins que ce qu’on déjà fait certains écolo-marginaux avec les écovillages, mais version muslim ! » ajoute-t-elle.



Des rigoristes vivant en quasi-autarcie

A Saint-Uze, commune de 2000 habitants dans la Drôme, les parents d’une famille de six enfants, qui se sont installés récemment, refusent de scolariser leurs filles au collège. Ces filles portent le voile et vivent sous la surveillance permanente du père.


Quatre familles ont déménagé de Montpellier pour s’installer à Marvejols, 5000 habitants, en Lozère. Là encore, aucun des enfants n’est scolarisé.

La note s’inquiète de cette « non-scolarisation »



Voir ce commentaire dans son contexte